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Un artisan taxi de Rouen a été victime d’un guet-apens alors qu’il tentait de récupérer le montant d’une course impayée. L’auteur de la filouterie, son frère et un troisième homme ont été interpellés.

Les faits remontent à environ trois semaines. Ce jour-là, le taxi est sollicité par un homme qu’il connait plus ou moins bien. La course terminée, le client refuse de payer la note de 90 €. L’artisan dépose plainte contre l’auteur de la filouterie.

Des hommes armés sortis de l’obscurité

Néanmoins, il essaie de récupérer à l’amiable son dû. Il fixe donc un rendez-vous à l’individu, et les deux hommes conviennent de se rencontrer ce mardi 3 janvier à 22 h 30 place de la Madeleine à Rouen.

A son arrivée à l’endroit fixé, le taxi constate que l’homme n’est pas seul, il est accompagné de son frère. La discussion à propos du paiement de la course tourne rapidement au vinaigre. En effet, plusieurs individus, amis des deux frères, surgissent de l’obscurité armés de matraques et menacent de frapper l’artisan. Le taxi a alors le réflexe d’aller se réfugier dans sa voiture garée plus loin. Immédiatement encerclé par les assaillants, il parvient à se dégager et à appeler police-secours.

Dégrisement et garde à vue

Un équipage de la brigade anti-criminalité, alertée par radio, se rend sur les lieux de l’agression et interpelle les deux frères, dont celui soupçonné de filouterie. Ce dernier est âgé de 21 ans et demeure à La Bouille. Le second, originaire de Rouen, est âgé de 19 ans. Un troisième homme, un SDF de 22 ans, est également interpellé. Tous les trois sont fortement alcoolisés. Ils sont ramenés à l’hôtel de police où ils sont placés en cellule de dégrisement puis en garde à vue.  
 

La douane vient de mettre à jour, en région parisienne et en Normandie, l’activité illégale d’un laboratoire fabriquant en France des contrefaçons de produits cosmétiques.

C’est au terme de plusieurs semaines d’investigation que les enquêteurs de la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED) ont procédé au contrôle d’un laboratoire situé dans le département de la Seine-et-Marne.

« Une affaire exceptionnelle »

Celui-ci exerçait une double activité de production. D’une part, il fabriquait, sous sa propre marque, des produits cosmétiques destinés à l’exportation, et d’autre part, des articles pour le soin du corps et du visage, contrefaisant des produits vendus dans les pharmacies.

« Il s’agit d’une affaire exceptionnelle et sans précédent non seulement parce qu’il s’agit d’un laboratoire ayant une double activité mais aussi parce que le lieu de fabrication de ces produits cosmétiques se situait sur le territoire national », affirme-t-on a la direction des douanes.

Lors du contrôle, les douaniers ont découvert un stock important de contrefaçons et des indications les conduisant à une seconde société, spécialisée dans le stockage et l’expédition, située également en Seine-et-Marne.

Un entrepôt de stockage dans le Calvados

Dans ce second entrepôt, ils ont saisi près de 45 000 produits de contrefaçon ainsi qu’un nombre équivalent de conditionnements, comme des tubes, des flacons, des petits pots, des capsules, …, ainsi que des emballages vides destinés à recevoir ces produits.

Quelques jours plus tard, des investigations complémentaires ont permis de procéder à un nouveau contrôle dans un autre point de stockage situé cette fois en Normandie, dans le Calvados où sont découverts près de 17 000 autres produits cosmétiques contrefaits et 50 000 conditionnements vides.

La personne à la tête de ces différents lieux de stockage et de production a été entendue par les enquêteurs. Les suites judiciaires ont été confiées au Service national de la douane judiciaire (SNDJ).

En 2015, la douane a intercepté 7,7 millions de contrefaçons.

Un adolescent âgé de 14 ans a été hospitalisé hier soir (mardi) dans un état grave, victime d’un accident de la circulation à Montigny-le-Bretonneux (Yvelines).

Le jeune homme a été percuté vers 19 h 20 par deux véhicules alors qu’il traversait la chaussée avenue des Prés, à l’angle de l’avenue de la Gare.

Il a d’abord été fauché par une première voiture qui l’a projeté sur un autre véhicule. Blessé à la tête, il a été pris en charge par les secours qui lui ont prodigué les premiers soins d’urgence sur place avant de le transporter a l’hôpital Necker à Paris XVe. Son pronostic vital était alors engagé.

Les conductrices des deux véhicules, très fortement choquées ont été transportées aux urgences de l’hôpital André Mignot au Chesney, près de Versailles.

Selon les premiers éléments recueillis sur les lieux de l’accident auprès de témoins, l’adolescent aurait traversé la chaussée en courant alors que le feu piéton était au rouge.

Il appartiendra à l’enquête ouverte par les services de police de préciser les circonstances exactes de l’accident. .

Une opération de sécurité routière a été organisée ce mardi matin, rue d’Arbouville, à Rambouillet. Il s’agissait pour les services de police de contrôler les bus de ramassage scolaire et de s’assurer que les règles de sécurité étaient bien observées à bord.

Vingt bus ont ainsi été contrôlés à partir de 7 h 45, ce qui a permis lors des vérifications de relever 23 infractions pour non port de la ceinture de sécurité. 

Une automobiliste a été griévement blessée dans un accident de la circulation aujourd’hui mardi, vers 10 h 30, à Jouy-en-Josas. Cette femme âgée 71 ans, circulait chemin de l’Homme Mort, lorsque, pour une raison indéterminée, elle a perdu le contrôle de sa voiture qui a heurté un trottoir et terminé sa course contre un arbre.

Bloquée dans l’habitacle, la conductrice a été désincarcérée par les sapeurs-pompiers avant d’être transportée, consciente, à l’hôpital Necker, à Paris XVe. Elle souffrait de douleurs au thorax et avait une plaie ouverte à une main. Son pronostic vital n’était pas engagé au moment de son évacuation.

Les trois jeunes gens (17, 19 et 20 ans), interpellés samedi 31 décembre, après l’incendie d’une camionnette de déménagement à Saint-Etienne-du-Rouvray, ont été présentés à un magistrat du parquet de Rouen.

L’un des majeurs, jugé en comparution immédiate hier lundi, a écopé de 10 mois de prison ferme auxquels s’ajoutent 12 autres mois suite à la révocation d’un sursis. Il a été écroué à la maison d’arrêt de Rouen.

Le second majeur a été condamné à une peine de prison avec sursis. Quant au mineur, il a été convoqué devant le juge des enfants en vue de sa mise en examen.

Le trio, originaire de l’agglomération rouennaise, était poursuivi pour vols par effraction en réunion, vol et destruction de véhicule par incendie, et défaut de permis de conduire pour le plus âgé.

Sous les yeux d’un témoin

L’un des mis en cause avait été aperçu samedi matin par un témoin en train de jeter un tapis enflammé dans l’habitacle d’une camionnette de déménagement dérobée dans le courant de la nuit lors d’un vol par effraction au siège d’une société de déménagement de Bonsecours. L’incendiaire s’était ensuite engouffré dans une Citroën Saxo, conduite par un complice, qui avait pris la fuite en direction de Sotteville-lès-Rouen.

Interpellés moins d’une heure après ces faits, les trois jeunes gens ont été confondus pendant leur garde à vue dans trois vols par effraction commis dans entreprises de l’agglomération cette même nuit. 
 

Hervé Morin, président de la Région Normandie, rendra visite à l’entreprise I-Métal (ex-Debris) de Saint-Laurent-de-Brèvedent, près du Havre, en Seine-Maritime, vendredi 6 janvier, en tout début de matinée.
 
Créée en 1967, l’entreprise Debris était spécialisée dans la  tôlerie industrielle. Placée en liquidation judiciaire en juillet 2016, la société a pu faire l’objet d’une reprise par Palettes gestion services (PGS), basée à Saint-Étienne-du-Rouvray, grâce au soutien de la Région Normandie qui a accordé une subvention de 150 000 euros ainsi qu’un prêt à taux nul de 150 000 euros au repreneur, au titre du dispositif ARME (Anticipation redressement mutations économiques).
 
39 des 70 emplois ont pu être sauvés grâce à cette reprise validée en novembre dernier par le tribunal de commerce du Havre. Deux embauches de chargés commerciaux sont prévues et une quinzaine d’emplois supplémentaires devraient également être créés à terme.

Deux frères originaires de Bolbec (Seine-Maritime) ont été condamnés hier lundi à de lourdes peines de prison ferme par le tribunal correctionnel du Havre.

Les deux hommes, âgés de 37 et 32 ans, ont été jugés en comparution immédiate pour tentative d’escroquerie, vol, menaces… Les faits se sont déroulés jeudi 29 décembre, date à laquelle les policiers sont informés par un commerçant d’Harfleur qu’un individu vient de tenter de payer des achats avec un chèque douteux.

Un chèque et une carte d’identité volés

Le signalement de l’individu est diffusé, ce qui permet à une patrouille de le contrôler plus tard en milieu d’après-midi place de la République. Interpellé, le suspect est en possession d’un chèque et d’une carte d’identité qui ne lui appartiennent pas.

Les policiers prennent contact avec le propriétaire du chèque et de la pièce d’identité et apprennent ainsi qu’il a été victime du vol de ces documents lors de la visite chez lui d’une connaissance venue boire un verre. Cette dernière a prétexté un coup de téléphone important pour s’isoler dans la chambre de son hôte. Il en a alors profité pour faire main basse sur le chèque et la carte d’identité. Le voleur présumé a été placé en garde à vue,

Le frère menace la victime

Son jeune frère a pensé naïvement qu’il pourrait le sortir de ce pétrin. Il a attendu que la victime du vol ressorte du commissariat de police pour l’aborder et lui demander de retirer sa plainte. Puis l’individu a contraint sous la menace d’un manche à balai cassé, à venir avec lui pour acheter de l’alcool dans un commerce situé à proximité. Intrigué, ce commerçant a alerté les services de police et l’individu a été arrêté place du Général de Gaulle vers 17 heures 30.

Lors de leur audition, en garde à vue, les deux frères ont nié en bloc les faits reprochés. Déférés au palais de justice vendredi 30 décembre, ils ont été placés en détention provisoire jusqu’à leur comparution immédiate ce lundi 2 janvier. Le plus âgé a écopé de 24 mois d’emprisonnement ferme et 3 mois supplémentaires suite à la révocation d’un sursis. Son jeune frère a été condamné à 24 mois ferme. Tous les deux ont été écroués a l’issue de l’audience.
 

Le gérant d’un bar-tabac d’Harfleur, près du Havre, a été victime d’une violente agression ce mardi matin alors qu’il venait d’ouvrir son commerce. Deux individus, cagoulés et gantés, l’ont contraint à ouvrir le coffre-fort, après l’avoir frappé à la tête.

Les faits. Il est 6 heures 20. Le jour n’est pas levé. Le patron du Longchamp, rue de la République, vient d’ouvrir le rideau métallique de son bar-tabac-PMU lorsque qu’il reçoit, par surprise, un violent coup sur le crâne. Deux hommes l’obligent alors à les conduire dans la réserve où se trouve le coffre-fort. Là, sous la menace, le commerçant, âgé de 43 ans, est sommé d’ouvrir le coffre et de leur remettre l’argent qu’il contient, soit la totalité de la recette de la veille.

Des malfaiteurs activement recherchés

Les deux malfaiteurs s’emparent de l’argent (le montant du butin n’a pas été communiqué) et prennent la fuite. Rapidement alertés, alors que la victime est transportée au centre hospitalier Jacques Monod â Montivilliers, les services de police déploient un plan de recherche dans le secteur qui ne permet pas de retrouver les deux malfaiteurs. Ces derniers étaient toujours activement recherchés en fin de matinée.

L’enquête a été confiée à l’antenne havraise du service régional de police judiciaire (SRPJ) par le parquet du Havre. Des constatations de police technique et scientifique ont été réalisées sur les lieux par l’identité judiciaire.
 

Hier, lundi 2 décembre vers 17 heures, un homme cagoulé s’est présenté au magasin Carrefour City place de la Grille à Fourqueux, et sous la menace d’une arme a exigé qu’on lui remette le contenu du tiroir-caisse.

Pas spécialement impressionné, l’employé du magasin a contre toute attente refusé de céder aux exigences du malfaiteur qui a finalement pris la fuite à pied en direction du Bel Air et Saint-Germain-en-Laye. Plusieurs clients étaient présents dans le magasin et ont été témoins des faits.

Une enquête a été ouverte pour tentative d’extorsion aggravée. Les recherches n’ont pas permis de retrouver le braqueur.

Dans le cadre d’une enquête pour violences avec arme, les gendarmes ont confondu un cultivateur d’herbe de cannabis. Ce dernier a été arrêté à son retour de Hollande, le lendemain du réveillon.

Vendredi 30 décembre en fin d’après-midi, les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Jacques-sur-Darnétal (Seine-Maritime), participent à une enquête ouverte pour violences avec arme. Ils procèdent en effet à l’audition d’une victime dont la voiture a été endommagée par des tirs au pistolet à plomb de gros calibre.

Une plantation de cannabis chez lui

Les investigations suivent leur cours et permettent d’identifier l’auteur présumé. C’est ainsi que samedi 31 décembre vers 17 heures, les gendarmes se présentent chez lui mais le suspect est absent. Il est parti réveillonner en Hollande.

Qu’à cela ne tienne, une perquisition est menée à son domicile. « Les gendarmes ne trouvent pas l’arme recherchée mais découvrent une belle plantation de cannabis dans une petite serre aménagée, ainsi que des pots avec divers produits », relate la gendarmerie de l’Eure sur sa page Facebook.

Arrêté à l’heure du thé

Les enquêteurs patientent et surveillent discrètement le retour de l’homme qui les intéresse. A l’heure du thé, ils sonnent à la porte du suspect qui est revenu des Pays-Bas les bras chargés. « Il a rapporté de son voyage de magnifiques cookies et cupcakes au cannabis qui s’ajoutent aux premières saisies », précisent encore les gendarmes. Qui ironisent : « Dealer, c’est pas du gâteau tous les jours ! »

La garde à vue d’un mari violent a été prolongée aujourd’hui de 24 heures sur décision du magistrat du parquet d’Evreux (Eure).

Cet homme âgé de 37 ans a été interpellé dimanche 1er janvier en début d’après-midi après que son épouse, âgée de 35 ans, a signalé aux services de police avoir été l’objet de violences de sa part. La victime, qui habite dans le centre-ville d’Evreux, a déclaré que son époux l’avait frappée à coups de ceinture et lui avait jeté dessus une tasse d’eau bouillante. 

Une enquête a été ouverte pour violences conjugales aggravées.

Les forces de l’ordre ont dû intervenir dimanche 1er janvier, vers 8 heures, pour déloger un homme en état d’ivresse qui refusait de quitter l’appartement de son hôte, une femme qui demeure rue de la Rochette, à Evreux (Eure) pas très loin du commissariat. 

A l’arrivée des policiers, l’homme âgé de 33 ans était allongé de tout son long sur le canapé et a confirmé qu’il n’avait pas l’intention de bouger. Les fonctionnaires ont été contraints d’élever le ton, mais l’individu les a alors insultés, puis s’est rebellé avant de leur porter des coups. Légèrement blessés, les deux policiers se sont vus prescrire un et deux jours d’incapacité temporaire de travail (ITT). 

Force est restée à la loi : l’agresseur a finalement été maîtrisé, menotté et embarqué vers le commissariat où il a été placé en dégrisement puis en garde à vue pour violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique. Remis en liberté, il sera jugé devant le tribunal correctionnel d’Evreux dans les prochaines semaines.

Le réveillon de la Saint-Sylvestre s’est terminé à l’hôpital pour un homme de 28 ans, qui habite en région parisienne. Invité à venir fêter le Nouvel an chez des amis à Gisors (Eure), ce convive a sans doute un peu trop abusé de l’alcool.

A tel point qu’à la fin de la nuit, ses amis l’ont empêché de repartir au volant de sa voiture. Ils ont alors fermé la porte à double tour pour l’empêcher se sortir. Qu’à cela ne tienne : vers 4 h 30, le convive éméché a sauté par la fenêtre du premier étage et s’est retrouvé trois mètres plus bas. Lorsque les sapeurs-pompiers sont arrivés pour le conduire aux urgences de l’hôpital de Gisors, le « cascadeur » malgré lui se plaignait de douleurs aux jambes. 

Un habitant d’Argenteuil, dans le Val d’Oise, a terminé la nuit du réveillon dans une geôle de la brigade de gendarmerie d’Etrépagny. Quand les gendarmes l’ont recueilli, l’homme, âgé de 27 ans, était tellement ivre qu’il ne savait plus où il habite. 

Au départ, vers 4 h 45, dans la nuit de vendredi à samedi, l’attention de riverains du centre-ville d’Etrépagny est attirée par des bruits bizarres, comme si quelqu’un essayait d’enfoncer une porte. En regardant de plus près, ces témoins aperçoivent alors un homme qui tambourine tant qu’il peut dans la porte d’une maison …inhabitée. 

Hagard et alcoolisé

Prévenus, les gendarmes arrivent sur place et découvrent en effet un individu, hagard et fortement alcoolisé, devant la maison en question. Il explique difficilement aux militaires qui le questionnent qu’il est venu réveillonner à Etrépagny où il a de la famille, et affirme ne plus savoir où il demeure.

Placé en cellule de dégrisement, il a fait l’objet d’une procédure pour ivresse publique manifeste qui le conduira prochainement devant le tribunal, avant d’être remis dehors. Il devra en outre rembourser au propriétaire de la maison la facture des réparations de la porte.   

Trois hommes qui s’apprêtaient à parachuter des objets par dessus le mur d’enceinte de la maison d »arrêt d’Evreux ont été interpellés, samedi 31 décembre. 

Le trio, originaire de la région parisienne, a été repéré peu avant 14 h 30, rue Pierre Semard, par une patrouille de policiers. Lors de la fouille des suspects sur place, un saucisson et un téléphone portable destinés à franchir « à la volée » le mur de la prison ont notamment été saisis pour les besoins de la procédure judiciaire.

Les trois individus, âgés de 18, 25 et 33 ans, ont été placés en garde à vue. Ils ont été remis en liberté après audition et notification pour chacun d’eux d’une convocation par officier de police judiciaire devant le tribunal correctionnel d’Evreux pour le mois d’août 2017.

LIRE AUSSI > Evreux : surpris en train de parachuter des objets par dessus le mur d’enceinte de la prison

Pour se venger de son amie qui venait de le quitter, un jeune homme a mis le feu au véhicule de celle-ci. L’incendiaire a été interpellé et placé en garde à vue au commissariat de Mantes-la-Jolie.

Vers 3 heures, cette nuit de dimanche à lundi, les policiers ont été appelés à intervenir sur les lieux de deux incendies de voitures rue des Pèlerins et rue de Strasbourg, à Mantes-la-Jolie.

Sur place, l’une des victimes a précisé aux forces de l’ordre que l’auteur est son ex-compagnon avec qui elle a rompu le matin même. Des recherches, lancées immédiatement, ont alors permis l’interpellation du suspect, un mantais de 26 ans, par la brigade anti-criminalité (BAC) alors qu’il rentrait vers son domicile.

L’incendiaire présumé a été placé en garde à vue, pour dégradations volontaires de biens privés par incendie. Le service de police technique a procédé à la recherche de traces d’hydrocarbure sur les deux véhicules incendiés. L’un des est entièrement détruit, l’autre présente un intérieur dégradé.

La circulation a été perturbée ce lundi en début d’après-midi sur l’autoroute A13, entre la bretelle Rouen ouest et Maison Brûlée, dans le sens Rouen vers Caen. Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir vers 14 h 30 pour éteindre un feu de voiture sur la bande d’arrêt d’urgence au kilomètre 122. Il n’y a pas eu de blessé.

La voie de droite a été neutralisée le temps de l’intervention des secours, soit durant une trentaine de minutes.

Les sapeurs-pompiers sont intervenus aujourd’hui vers midi suite au déclenchement des alarmes incendie dans l’immeuble d’entreprises Alpha, au 9, rue Georges-Braque dans le quartier de la Grand’Mare sur les hauts de Rouen. Lors de la reconnaissance des lieux, les secours ont constaté un dysfonctionnement du système d’alarme qui s’est déclenché de façon intempestive, pour des raisons ignorées, à plusieurs reprises dans la matinée. 

L’immeuble Alpha abrite sur quatre étages les bureaux d’une vingtaine d’entreprises diverses, dont le centre de formation de la Poste, ainsi qu’un restaurant d’entreprise. 

A partir de ce mardi 3 janvier, et jusqu’à fin août 2017, le chantier de construction du 3e tablier au viaduc de Guerville, dans les Yvelines, entre dans une nouvelle phase de travaux. Cette phase nécessite la mise en place de restrictions de la circulation sur la RD113 entre Mantes et Mézières-sur-Seine, afin de réaliser les interventions en toute sécurité. Pour maintenir une circulation fluide sur cet axe, la Société des autoroutes Paris Normandie (SAPN) met en place une signalisation spécifique pour guider les automobilistes en toute simplicité. 
 
Limiter la gêne à la circulation

Durant cette nouvelle phase de travaux, la SAPN intervient sous le viaduc de Guerville, entre les voies SNCF et la RD113 en vue de la construction d’une des piles qui soutiendra l’ouvrage.

Afin d’effectuer ces travaux dans les meilleurs conditions, un périmètre de sécurité pour les besoins du chantier, ce qui a des conséquences sur la largeur de la RD113.  Deux temps d’intervention sont prévus :

Déclaré d’utilité publique le 17 décembre 2015, le projet de création d’un 3e tablier au viaduc de Guerville est inscrit au Plan de relance autoroutier mis en œuvre par le groupe Sanef. Figurant parmi les 20 projets engagés par le groupe, ce chantier emblématique représente un coût total de 47 M€. 
 
120 000 usagers quotidiens

Le projet a pour ambition de créer un tablier supplémentaire contigu aux deux tabliers existants afin de permettre la rénovation des deux tabliers actuels, qui nécessitent des travaux d’entretien. L’organisation de ce chantier permet de garantir aux 120 000 automobilistes quotidiens, une circulation quasi normale sur le secteur durant les travaux.

A la fin du chantier, prévue pour février 2020, les deux anciens tabliers assureront la circulation du sens Paris vers Caen et le nouveau tablier accueillera la circulation du sens Caen vers Paris.  

Avec la création de ce troisième tablier, la fluidité sera renforcée, puisqu’une voie supplémentaire sera dédiée au sens Paris > Caen permettant ainsi de disposer de 4 voies au lieu de 3. Ce projet permettra également d’améliorer la sécurité des automobilistes et des équipes d’intervention, grâce à la création de bandes d’urgence dans chaque sens de circulation.   

Entre le 3 janvier et le 10 février 2017, le projet de création d’un complément au demi diffuseur de Bourneville (Eure) est soumis à une enquête publique. Le public est invité à y participer pour donner son avis, lors de cette phase de consultation importante pour la suite du projet. L’obtention de la déclaration d’utilité publique (DUP) est attendue pour l’été 2017. 
 
Desserte de Pont-Audemer

L’amélioration de la desserte de Pont-Audemer prévoit deux aménagements principaux :
• La création d’un ½ échangeur à Toutainville comprenant la création d’une bretelle d’entrée vers Paris et d’une bretelle de sortie depuis Paris. Une enquête publique sur ce projet sera également organisée très prochainement.
• Le complément au diffuseur actuel de Bourneville, incluant la création d’une bretelle de sortie depuis Caen et d’une bretelle d’entrée vers Caen, objet de la présente enquête publique.  
 
L’Enquête Publique : pourquoi y participer ?  

L’Enquête Publique est une procédure réglementaire qui vise à satisfaire un double objectif : l’information du public et le recueil de ses observations. Cette enquête se déroule sous l’égide d’un commissaire enquêteur, désigné par le tribunal administratif de Rouen. A l’issue de cette enquête, le commissaire-enquêteur rédige un rapport, faisant la synthèse du déroulement de l’enquête et des observations du public, puis il formule un avis remis au Préfet de l’Eure, afin que ce dernier se prononce sur l’utilité publique du projet. 
 
Comment y participer et où s’adresser ? 

La Société des autoroutes Paris  Normandie (SAPN), concessionnaire du réseau, a mis en place un dispositif spécifique pour accompagner le public et l’informer sur ce projet :  
 
• En juin dernier, deux réunions publiques d’information ont eu lieu sur le projet d’amélioration de la desserte de Pont-Audemer à Etreville et à Toutainville,  
 
• Une ligne spécifique a été créée pour répondre aux questions du public :  La ligne Info Projets 0 806 800 036 (prix d’un appel local) ouverte du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h, 
 
• Le site internet www.planderelance.sapn.fr actualisé chaque fois que nécessaire présente le projet en détail et permet au public de poser des questions via sa rubrique « contact ». 

Le trio a été arrêté samedi 31 décembre en milieu de matinée par les fonctionnaires de police-secours, moins d’une heure après avoir mis le feu à une camionnette de déménagement à Saint-Etienne-du-Rouvray. A 8 heures 50, l’un des mis en cause avait été aperçu par un témoin en train de jeter un tapis enflammé dans l’habitacle du véhicule qui a été entièrement détruit par les flammes. L’auteur des faits s’était ensuite enfouffré dans une Citrôen Saxo, conduite par un complice, et pris la fuite en direction de Sotteville-lès-Rouen.

Trois cambriolages dans des entreprises la même nuit

Les recherches lancées immédiatement devaient alors permettre de localiser la Saxo, rue du Madrillet, et d’interpeller vers 10 heures les trois occupants, dont l’incendiaire présumé, un Rouennais de 19 ans. Lors du contrôle, le conducteur, âgé de 20 ans et domicilié à Canteleu, près de Rouen, a reconnu ne pas être titulaire du permis. Tous les trois ont été emmenés à l’hôtel de police pour des vérifications plus fouillées.

Lors de la palpation de sécurité, les enquêteurs ont retrouvé sur l’un des suspects le double des clés de la camionnette incendiée : elle avait été dérobée au cours de la nuit lors d’un vol par effraction au siège d’une société de déménagement à Bonsecours. Les auditions et recoupements ont permis d’établir que le trio avait également commis des vols dans trois entreprises cette même nuit. 

Deux cambrioleurs ont été maîtrisés par leur victime alors qu’ils étaient entrés par effraction dans son logement rue Saint-Hilaire à Rouen (Seine-Maritime).

Il était un peu plus de 2 heures 30 du matin, cette nuit du réveillon de la Saint-Sylvestre. Police-secours est avisée, via le 17, par un homme qui déclare avoir interpellé chez lui deux individus . Ces deux inconnus ont pénétré dans le logement en fracturant la fenêtre de la cuisine. Ils ont fouillé l’habitation avant d’être surpris et neutralisés par le locataire alors en compagnie de deux amis.

A l’arrivée de la police, les deux cambrioleurs présumés, fortement alcoolisés, étaient retenus par le locataire, âgé de 33 ans, et ses amis. L’un des intrus est âgé de 31 ans, le second de 32 ans et sont respectivement domiciliés à Saint-Etienne-du-Rouvray et Sotteville-lès-Rouen. Les mis en cause portaient des traces d’ecchymoses sur le visage occasionnées probablement lors de leur arrestation par les victimes. Ils ont été placés en garde à vue pour vol par effraction.
 

Une altercation à propos d’un téléphone portable s’est achevée à coups de couteau lors du réveillon. Les faits sont survenus dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, vers 1 heures 40, dans un appartement de la rue Ernest Derrien au Havre (Seine-Maritime).

Pour une raison que l’enquête devra déterminer précisément, l’un des convives a frappé au bas-ventre un autre invité. La lame du couteau a provoqué une plaie de quelques centimètres. La victime, un homme âgé de 18 ans, a été conduite au centre hospitalier Jacques Monod, à Montivilliers. 

L’auteur des faits a pris la fuite et était toujours dimanche activement recherché. Identifié, son interpellation ne devait être qu’une question d’heures.

Une enquête a été ouverte à la sûreté urbaine du Havre pour violences volontaires avec arme.

Samedi 31 décembre, alors que le veilleur de nuit de l’hôtel Appart’City, quai Conty à Louveciennes, était en train de faire sa caisse, deux individus ont fait irruption en pleine nuit (vers 4 h 40) dans le hall prétextant un problème dans leur chambre. Le veilleur leur a ouvert la porte de la réception et un des malfaiteurs a fait usage d’une bombe lacrymogène pendant que le second, cagoulé, s’est emparé de la caisse.

Les deux hommes ont pris ensuite la fuite dans une direction ignorée. La victime est allée se réfugier au Confort suites, un autre hôtel situé à Le Port Marly où son collègue a immédiatement contacté les services de police.

Le montant du butin est de 1 186 euros en numéraire.

Le service local de police technique (SLPT) est venu sur place pour procéder à des relevés de traces et indices. Une enquête a été ouverte pour vol à main armée. 
 

Une perte de controle est à l’origine d’un accident de la circulation qui s’est produit ce dimanche 1er janvier vers 13 heures sur la route départementale 1 (route de la Paix) aux Andelys (Eure).

La voiture, conduite par une jeune femme de 21 ans, originaire de la commune, a percuté une butte de terre avant d’effectuer plusieurs tonneaux. Elle s’est immobilisée sur le toit au milieu de la chaussée. La conductrice a été soumise à un dépistage d’alcoolémie qui s’est révélé négatif. La jeune femme a été conduite à l’hôpital de Vernon pour un examen de contrôle.

Un épisode de neige et de pluies verglaçantes est annoncé cette nuit et dans la journée de lundi sur 18 départements du Nord de la France placés en vigilance orange, dont la Seine-Maritime, l’Eure, la Somme et les départements d’Île-de-France.

Il devrait arriver sous forme de pluies verglaçantes vers 22h cette nuit de dimanche à lundi par le littoral de la Manche et la frontière belge et se transformer en neige en progressant vers l’Est des Hauts-de-France, la Seine-et-Marne et le Grand Est à partir de 4h. Les quantités attendues sont faibles mais les sols blanchiront rapidement et la couche atteindra 2 ou 5 cm par endroits. La fin des précipitations est attendue vers midi en Ile-de-France, mais elles se poursuivront toute la journée dans le Grand-Est pour s’achever en fin de journée en Franche-Comté et Auvergne-Rhône-Alpes.

Cet épisode intervient alors que la journée de lundi est classée orange dans le sens des retours. Bison Futé recommande d’organiser son retour de façon à éviter si possible les précipitations et rappelle ses conseils de conduite en hiver :

Les conditions climatiques hivernales peuvent rendre les routes difficilement praticables et particulièrement dangereuses.

Adapter sa conduite

Pour rouler en toute sécurité, il est nécessaire d’adapter sa conduite et prendre un certain nombre de précautions telles que, rouler lentement, allonger les distances de sécurité, s’efforcer de conserver une conduite « souple » en évitant les accélérations soudaines ou les freinages brusques.

Il faut également être particulièrement attentif aux restrictions de circulation et déviations mises en places, veiller à la sécurité des agents qui interviennent sur les chantiers, et laisser la priorité aux engins de déneigement et de salage.

Des équipements spéciaux peuvent être nécessaires pendant la période hivernale. Selon les circonstances, vous pouvez équiper votre véhicule au moyen de pneus hiver, pneus cloutés, chaînes à neige.

En France, l’utilisation de pneus cloutés ou de chaînes à neige est autorisée du 11 novembre au dernier dimanche de mars. Les chaînes sont des équipements obligatoires (au moins sur les deux roues motrices) sur certains axes routiers équipés du panneau « chaînes à neige obligatoires ».

Plus que jamais en cette nuit de réveillon du Nouvel an, les routes étaient sous haute surveillance en Seine-Maritime. Les forces de l’ordre mais aussi la préfecture avaient prévenu que des contrôles seraient mis en place pour lutter contre les conduites addictives : alcool, stupéfiants, vitesse…

Sans surprise, les gendarmes de la compagnie d’Yvetot et du Peloton motorisé (PMO) d’Ecalles-Alix ont procédé à une opération destinée à combattre l’insécurité routière cette nuit de dimanche 1er janvier de 3 à 7 heures.

« La nuit de la Saint-Sylvestre étant traditionnellement arrosée, l’objectif était que chacun rentre chez soi sans accident », relate le chef d’escadron Franck Piédagnel, commandant la compagnie d’Yvetot.

300 conducteurs dépistés

Pour ce faire plusieurs postes avaient été installés au rond point d’Ecalles-Alix et dans l’agglomération de Motteville.

Environ 300 dépistages alcoolémies ont ainsi été réalisés en quatre heures. « Même si beaucoup de personnes contrôlées présentaient un taux de zéro alcool », reconnaît l’officier de la gendarmerie, « 11 conduites sous l’empire d’un état alcoolique ont tout de même été verbalisées (7 délits et 4 contraventions). Parmi ces derniers, deux conduisaient malgré l’annulation de leur permis de conduire. »

Les gendarmes de la compagnie d’Yvetot continueront à réprimer sans la moindre faiblesse toutes les infractions graves génératrices d’accidents, prévient Franck Piédagnel.

Un motard a succombé à ses blessures dans un accident de la route ce samedi 31 décembre tes 17 h 30 aux Andelys (Eure). Le deux roues qu’il pilotait est entré en collision avec une voiture qui circulait comme lui sur la route départementale 125, dans la traversée du hameau de Radeval. Dans le choc, le pilote, âgé de 56 ans, a été grièvement blessé et malgré les soins intensifs prodigués par les sapeurs-pompiers et le SAMU il est décédé.

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie. Elle devra établir les circonstances de l’accident, le dernier mortel dans l’Eure en 2016.

Au cours de la nuit de la Saint-Sylvestre, des précipitations verglaçantes peuvent se produire, annonce la Préfecture de l’Eure. Ajouté au dépôt de givre les sols devraient être particulièrement glissants en cours de nuit. Le risque de pluie verglaçante se maintient tout au long de la matinée du 1er janvier et devrait prendre fin à la mi-journée.

Le verglas, même en faible quantité rend les sols très glissants ce qui nécessite une vigilance toute particulière.

Le préfet de l’Eure, appelle chacun à la plus grande prudence et recommande à tous, de respecter les consignes suivantes :

– Soyez prudents et vigilants si vous devez absolument vous déplacer.

– Privilégiez les transports en commun.

– Renseignez-vous sur les conditions de circulation auprès du centre régional d’information et de circulation routière (CRICR).

– Préparez votre déplacement et votre itinéraire.

– Respectez les restrictions de circulation et déviations mises en place.

– Facilitez le passage des engins de dégagement des routes et autoroutes, en particulier en stationnant votre véhicule en dehors des voies de circulation.

– Protégez-vous des chutes et protégez les autres en dégageant la neige et en salant les trottoirs devant votre domicile, tout en évitant d’obstruer les regards d’écoulement des eaux.

– Ne touchez en aucun cas à des fils électriques tombés au sol.

– Installez impérativement les groupes électrogènes à l’extérieur des bâtiments.

– N’utilisez pas pour vous chauffer :

* des appareils non destinés à cet usage : cuisinière, brasero ; etc. *les chauffages d’appoint à combustion en continu.

Ces appareils ne doivent fonctionner que par intermittence.