Dans le sous-sol d’Alain, une mini-ville et des centaines de trains se cachent.Dans le sous-sol d’Alain, une mini-ville et des centaines de trains se cachent.IMG_4369.JPGIMG_4371.JPGIMG_4373.JPGIMG_4374.JPGIMG_4375.JPGIMG_4376.JPGIMG_4378.JPGIMG_4380.JPGIMG_4381.JPGIMG_4382.JPGIMG_4383.JPGIMG_4384.JPGIMG_4385.JPGIMG_4386.JPGIMG_4389.JPGIMG_4392.JPGIMG_4393.JPGIMG_4394.JPGIMG_4395.JPGIMG_4397.JPGIMG_4398.JPGIMG_4403.JPGIMG_4407.JPGIMG_4413.JPG
« S’il n’y a pas de risques de collision, c’est l’ennui assuré », prévient Alain Laslier, le créateur d’un immense circuit de trains électriques qui occupe une pièce entière de son garage à Bosc-le-Hard (Seine-Maritime). Pas question donc de les regarder rouler sur les rails sans rien faire.
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« Un circuit qui n’a pas fini de grandir »
Tout a commencé quand un ami lui a offert un circuit. « Nous avons commencé par un petit circuit qui n’a jamais fini de grandir, à coup de modifications en tout genre », se souvient-il.
Aujourd’hui, il y a 56 commandes pour les aiguillages et les arrêts en gare. Tout est illuminé. Les minuscules ampoules proviennent de voitures. À regarder de plus prêt, les lampadaires sont faits de pailles de jus de fruits. « C’est beaucoup de système D, si on achète tout, cela coûte une fortune ». Une rothonde de cinq étages était « le plus difficile à fabriquer, avoue Alain. Il fallait respecter les 5° de pente, sinon les machines ne pouvaient pas monter ».