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Tous les articles par Quevilly Espace Images

  • ROUEN. Le nouveau général de la sous-direction du recrutement de l’Armée de Terre en visite au CIRFA de Rouen.

    Recrutement 2.0.

    Le Centre d’information et de recrutement des forces armées (CIRFA) regroupant la Marine nationale, l’armée de l’air et l’armée de terre et qui a pris en juin dernier ses nouveaux quartiers au 112 avenue du Mont-Riboudet, a reçu lundi, la visite du nouveau Général de la Sous-direction recrutement de l’armée de terre, le Général de brigade Benoit Chavanat. Récemment nommé, il a commencé son tour de France des centres de recrutement afin de faire plus ample connaissance avec ses personnels et confirmer la politique de recrutement édictée par le gouvernement, tant en nombre qu’en qualité. « Parallèlement aux objectifs fixés qui doivent être tenus, mon rôle consiste également à mesurer les marges de progrès qui peuvent être envisagées » a déclaré le militaire, « car le recrutement, devant s’adapter à la conjoncture, géopolitique, sociale et économique, évolue. Les métiers de l’armée se multiplient, demandant de nouvelles compétences. Les forums, les campagnes de communications, les marchés et les foires ne suffisent plus comme terre d’embauche. D’autres terrains, comme internet par exemple, doivent être utilisés pour rencontrer un public nouveau. C’est l’anticipation du recrutement de demain et nous nous devons d’y être présents ». 

     
  • SOTTEVILLE-LES-ROUEN. Signature d’une convention entre la Ville, la Préfecture de Seine-Maritime, la Chambre de commerce et celle des métiers.

    Pour une nouvelle vitalité commerciale.

    « Le commerce de proximité est une richesse qui n’a pas d’équivalent, tant au niveau économique que social. Aussi, sans se substituer aux acteurs commerciaux, la municipalité doit répondre présent afin de faciliter les échanges et activer les bons leviers… ». La maire, Luce Pane, a ainsi présenté la séance de signature de la convention qui marque la mise en œuvre du dispositif FISAC (Fonds d’intervention pour le maintien et le développement des services, de l’artisanat et du commerce) en faveur des activités commerciales et artisanales présentes sur le territoire de la Commune de Sotteville-Lès-Rouen. La signature de cette convention entre la Mairie de Sotteville-lès-Rouen, la Préfecture de Seine-Maritime, la Chambre de commerce et d’industrie et la Chambre des métiers et de l’artisanat a pour objet de mettre en œuvre un plan d’actions ambitieux. Concrètement, animé par un comité de pilotage, ce fonds permettra d’accompagner les entreprises à développer leur activité et participer à la qualité de l’offre de commerces, services et artisanat du territoire. Rénovation des vitrines commerciales, mise en accessibilité des entreprises commerciales et artisanales, acquisition de mobilier de terrasses… sont quelques exemples de « coups de pouce » qui, par une aide au financement,  favoriseront l’animation, le développement et l’embellissement de l’offre commerciale Sottevillaise, maintenant l’emploi et prodiguant un nouvel élan économique au service des habitants.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Philippe Dupray, maire-adjoint de la Ville, chargé des finances est décédé.

    Une figure de la ville s’est éteinte.

    Philippe Dupray, maire-adjoint de la Ville, chargé des finances est décédé brutalement à l’âge de 79 ans. Philippe Dupray, longtemps professeur au lycée professionnel Colbert de Petit-Quevilly, était élu de la Ville depuis 1983. Aux côtés de Robert Pages, François Zimeray et Frédéric Sanchez dans la commune, mais aussi dans l’intercommunalité en construction ainsi qu’auprès du bailleur social Seine Habitat ou encore du SMEDAR, il était un élu local impliqué. Reconnu pour sa droiture, son extrême sérieux, son sens de l’intérêt général et son dévouement au service public, il est devenu au fil des années un acteur éminent de la transformation de sa commune sur la rive gauche. Homme de gauche, membre du Parti socialiste, ses valeurs humanistes l’ont toujours guidé. « Il était apprécié et respecté de tous » affirme Frédéric Sanchez dans un communiqué où il précise également que « François Zimeray, ancien maire de la Ville, aujourd’hui ambassadeur de France au Danemark, s’associe à notre tristesse » avant d’ajouter que « Le conseil municipal et moi sommes très peinés par ce décès et nous adressons nos plus sincères condoléances à sa fille et à ses petits-enfants ainsi qu’à toute sa famille ». Frédéric Sanchez rendra un hommage à Philippe Dupray lors du conseil municipal le 2 octobre prochain à 18 h 30. Lors de ce moment de recueillement, il proposera également aux conseillers municipaux et au public présent d’observer une minute de silence.

     
  • GRAND-QUEVILLY. La Maison des Arts ouvre sa saison culturelle avec une exposition de BD.

    Des planches au programme.

    Pour sa première exposition de la saison, la Maison des arts propose Continua, une exposition du dessinateur de BD Alfred, invité d’honneur du festival Normandie Bulles de Darnétal. Cette exposition rassemble des planches originales, des impressions et du texte à partir de l’album Italiques, édité en 2014. Visible du 12 septembre au 7 octobre, elle est un voyage à travers 4 villes d’Italie : Cinque Terre, Naples, Rome et Venise. Le tout construit dans un espace légèrement scénographié où le public est invité à une déambulation au cœur des racines de l’artiste. A l’occasion du vernissage de cette exposition, Alfred et JP Nataf, ex-chanteur du groupe Les Innocents, ont proposé un concert-dessiné pour une soirée pleine de poésie, de dessins et de chansons. D’autres événements sur le thème de la BD sont également organisés à la médiathèque : l’exposition, Capitaine Fripouille du 12 au 30 septembre, qui propose de découvrir des planches originales de la BD pour enfants du même nom, réalisée par Alfred et Olivier Ka. Maison des Arts – Allée des Arcades – 02.32.11.09.78 – Entrée libre – du lundi au samedi – 15 h-18 h -Continua – Alfred – Jusqu’au samedi 7 octobre.

     
  • GRAND-QUEVILLY. La Ville et le centre d’actions sociales proposent des ateliers d’aide aux démarches en ligne.

    De l’aide pour les démarches.

    Dorénavant, la Ville et le CCAS (Centre communal d’actions sociales) proposent un accompagnement pour faciliter les démarches administratives en ligne sur des sites publics. « Nous sommes partis d’un constat établi à l’accueil du CCAS » explique Isabelle Morvan, responsable du service action sociale, orientation, formation, insertion à la mairie, « il y a des personnes qui sont démunies face aux démarches en ligne. Certaines ne sont pas équipées, d’autres ne savent pas se servir de l’outil… Les agents du services ont donc été formés, non seulement pour naviguer dans les menus des différentes administrations mais également pour pouvoir répondre aux questions sociales qui pourraient leur être posées ». Carol Dubois, adjointe en charge des actions de solidarité, rappelant que, « depuis toujours, la municipalité œuvre pour éviter l’exclusion de qui que ce soit en les accompagnant du mieux possible », indique que « grâce à la mise en place d’ateliers, les Quevillais qui ne disposent pas d’ordinateurs ou qui ne sont pas à l’aise avec l’informatique pourront apprendre à faire leurs déclarations trimestrielles de RSA, une demande de logement… mais aussi à réaliser des CV et envoyer des candidatures sur le site de Pôle emploi ». Les ateliers pour les démarches en ligne sur des sites publics sont organisés les lundis et vendredis, ceux pour les CV et candidatures, les mardis, jeudis. Ils se déroulent de 14 h à 16 h et sur rendez-vous auprès du Sofi à l’Hôtel de Ville ou au 02.35.68.93.61. Par ailleurs, le Sofi est ouvert chaque matin de 9 h à 12 h pour les personnes en recherche d’emploi autonomes qui ont besoin d’utiliser un ordinateur.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. En marge du souvenir de la libération de la ville, un hommage est rendu aux combattants de l’ombre du Maquis de Barneville.

    Le sacrifice d’une jeunesse pour la liberté.

    Chaque année, la municipalité organise une manifestation, à Barneville sur Seine, pour rendre hommage à ses combattants qui, il y a 74 ans, ont donné leur vie en s’opposant à l’occupant nazi. Rue du Maquis-de-Barneville, rue Maurice-Mailleau, rue des Frères-Séhy… Autant de voies et rues du Petit-Quevilly qui arborent le nom de ces héros de l’ombre. En 1943, Maurice Mailleau, les frères Jean et André Séhy ont 20 et 25 ans. Ils sont résistants. Avec douze autres jeunes, ils s’isolent dans une marnière, située à 3 km de Bourg-Achard, dans l’Eure, pour former le maquis de Barneville. De mai à août 1943 Actif de mai à août 1943, ce groupe de résistants s’arme, renverse des pylônes électriques sur les voies de chemins de fer, fait dérailler des trains et agit sur toute la rive gauche. Le 24 août 1943, 200 soldats allemands et 100 miliciens français donnent l’assaut de la grotte. Deux résistants sont tués et les autres sont faits prisonniers par la Gestapo rouennaise. Le 8 novembre 1943, Maurice Mailleau, les frères Séhy, Robert Legros, Roger Dumont, Marcel Lechevalier sont fusillés, leurs compagnons déportés à Buchenwald. Christian Senard et Albert Leroy arriveront à s’évader. Le programme de ces cérémonies qui se dérouleront samedi 2 septembre se déroulera de la façon suivante : 11 h, commémoration au cimetière communal du Petit-Quevilly – 11 h 30, réception à l’hôtel de ville – 14 h 30, hommage aux résistants devant la stèle du Maquis de Barneville (route D91 à 3 km au Nord-Est de Bourg-Achard direction Duclair). Avec la participation des associations d’anciens combattants (ANACR, ACPG-CATM, FNACA, FNDIRP).

     
  • GRAND-QUEVILLY. Le père Thierry Quelquejay, nouveau curé de la paroisse Saint-Paul de Quevilly Couronne prendra ses fonctions ce dimanche en l’église Sainte-Lucie.

                                                                                                           

    Un nouveau berger pour la paroisse.

    Pour les catholiques pratiquant et pour les autres, l’arrivée d’un nouveau prêtre est toujours un petit évènement. « Les habitudes vont-elles être bousculées ? Quelle va être sa politique ? ». Qu’ils se rassurent! A l’instar de la politique, le monde de la religion semble vouloir jouer la carte du Renouveau, de l’espoir et de l’optimisme. L’abbé Thierry Quelquejay ne dépareille pas dans ce paysage moderne, désirant aller à la rencontre des autres, leur apporter ce renouveau charismatique prôné au sein de la communauté de l’Emmanuel dont il est issu. Et pourtant! Diplômé de l’école d’ingénieur des Hautes Etudes Industrielles (HEI), avec une spécialisation en informatique industrielle, il est coopérant au Cameroun, comme enseignant dans un collège de mission. Il travaille ensuite pour un groupe alimentaire international, 5 ans en usine à assurer différentes fonctions d’encadrement, puis deux ans au siège au contrôle de gestion comme responsable des investissements et des études économiques… Sa vie aurait pu se dérouler dans le « monde classique »! En 1992, il « reçoit l’appel au sacerdoce » au cours d’un pèlerinage en Terre sainte et depuis… Il reçoit sa formation à l’Institut d’Etudes Théologiques de Bruxelles, est ordonné en 2000 comme prêtre du diocèse de Rouen, membre de la communauté de l’Emmanuel. Il est nommé en 2001 solidairement curé sur la paroisse Saint-Filleul de Rouen. En 2003 il part à Rome comme directeur et aumônier de l’école de mission de la Communauté de l’Emmanuel. En 2006, il est à nouveau nommé solidairement curé de la paroisse Saint-Filleul puis en 2009 part à Namur, pour diriger la maison Saint-Joseph de la Communauté de l’Emmanuel. En juin dernier, avec l’accord du Modérateur international de la Communauté de l’Emmanuel, Mgr Dominique Lebrun le nomme curé de la paroisse Saint-Paul de Quevilly – Couronne. Il officiera solidairement avec l’abbé Francis Manoukian, prêtre de la Communauté de l’Emmanuel, nommé vicaire de la paroisse. Ce dimanche 3 septembre à 10 h 30, il entrera officiellement en fonction en l’église Sainte-Lucie au cours d’une messe célébrée par l’abbé Alexandre Joly, vicaire général. Le père Thierry recevra également le mercredi 6/09, à sainte Lucie à 15 h, le jeudi 7/09, à sainte Lucie à 20 h 30, le samedi 23/09 à Saint-Aubin à Petit Couronne à 14 h. Contact : Père Thierry Quelquejay 06.51.56.58.48.

     
  • GRAND-QUEVILLY. Le maire a souhaité la bienvenue aux enseignants qui, à la rentrée prochaine, prennent la direction de trois écoles.

    De nouvelles têtes à la direction des écoles.

    C’est la rentrée scolaire pour les enfants qui, pour les uns, changent de classe et, parfois, d’école. Cela peut-être également l’occasion pour certains enseignants, évolution de carrière oblige, d’embrasser de nouveaux postes, entraînant de nouvelles habitudes pédagogique et managériales. Afin de les placer dans les meilleures conditions, le maire Marc Massion, accompagné de son adjoint en charge de l’éducation Roland Marut, ont accueilli en mairie trois enseignants qui, dès lundi prendront la direction de 3 écoles communales. Emilie Kohller, 35 ans, titulaire d’un Master petite enfance et professeure des écoles à Pasteur depuis plusieurs années est de ceux-là et prendra dorénavant les rênes de l’école Charles Perrault. « J’ai toujours travaillé en bonne cohérence avec la municipalité, je ne doute pas que cela continuera » prédit-elle. A 45 ans, Séverine Duhamel, professeure des écoles depuis 1997 et officiant à l’école Maryse Bastié depuis 2003, découvrira quant à elle le bureau dévolu à la directrice de l’établissement. « C’est une belle école et je suis sûre que je pourrais continuer à y effectuer du bon travail » espère-telle. Seul « horsain » si l’on peut dire de cette palette de nouveaux nommés, Arnauld Fouquet qui, en provenance de Moulineaux, prendra les commandes de l’école Pasteur en remplacement de l’emblématique directrice Laurence Wauters, partie en retraite à la fin de l’année scolaire écoulée. Ce titulaire d’un DEA en sciences de l’éducation, âgé de 54 ans, aura en charge une classe de maternelle et compte bien « apporter son expérience pédagogique au service des enfants ».

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Sandrine et Sophie vont participer, en décembre, au raid des Amazones.

    Des sportives au grand cœur.

    Elles ont fait connaissance sur le bord d’un terrain de rugby alors qu’elles supportaient des amis sportifs communs. Le courant est passé entre ces deux jeunes femmes, adeptes de sports et de défis. Depuis, Sophie, l’infirmière pédiatrique et Sandrine, la professeure des écoles, ne semblent plus pouvoir se quitter! « A deux, on est plus fortes et on va plus loin » répètent-elles comme leitmotiv. Leur palette sportive est époustouflante. Sandrine pratique le rugby depuis 17 ans, la course à pied depuis 2016, 10 km, semi-marathon, trail, crossfit… « Je suis un peu une touche à tout » plaisante-t-elle. Sophie, elle, est une grande bavarde et ses connaissances la qualifient souvent d’hyperactive. « J’ai commencé le sport toute petite. Est-ce que mes parents auraient cru qu’en me mettant à la baby gym, j’allais finir par ne plus me passer de sport ? La natation, l’équitation, l’aérobic et maintenant le running. Ce que j’aime : c’est me surpasser et me lancer de nouveaux défis. Les derniers en dates : les 10 km de Dubaï, le semi-marathon de San Francisco… ». Alors, quand Sandrine propose à sa copine de participer au prochain raid des Amazones, la réponse ne pouvait être que positive. « C’est un nouveau défi que nous nous lançons. Pour nous dépasser et consolider encore plus notre amitié, pour enrichir nos connaissances, pour voyager à travers le sport, valoriser la pratique sportive des femmes mais également pour véhiculer l’image de l’association « Laurette Fugain lutte contre la leucémie » que nous avons choisi de mettre en avant. Créé en 2001, le Raid des amazones est le seul raid d’aventure 100% féminin parcourant le monde entier. Les deux jeunes femmes s’élanceront sur les pistes du Cambodge du 1er au 11 Décembre prochain avec une seule idée en tête : « véhiculer les valeurs et l’image de l’association Laurette Fugain, dont nous sommes les ambassadrices ». Une collecte de fonds est organisée à cet effet qui seront reversés en partie à l’association ». Le soutien des particuliers ou des sponsors, institutionnels et privés seront, de toute évidence, les bienvenus! Pour contacter ces deux sportives : slarive@sfr.fr ou sophie.cabanes12@gmail.com

     
  • GRAND-QUEVILLY. Niché au cœur de la forêt du Chêne à Leu, l’un des plus impressionnants chantiers de l’agglomération bat son plein.

    Un outil prestigieux pour le club de football.

    Pour s’entraîner, les joueurs  de foot du PSG, de Marseille, de Monaco ou de l’équipe de France ont le Camp des Loges, la Commanderie, la Turbie ou Clairefontaine, des complexes souvent en retrait de toute agitation, propices au calme et à la concentration. Le Football Club de Grand-Quevilly disposera prochainement, toutes proportions gardées, d’installations qui sont, actuellement, en cours de réalisation. Et pour qui connaît le site du Chêne à Leu situé derrière le Zénith de la Métropole, un petit coup d’œil aux transformations en cours laisse présager du futur résultat. On accède au  ballet des engins de terrassement après un cheminement ombragé par les pins, en bordure de cette forêt de 36 hectares. Aménagé pour la première fois en 1971, le lieu, ainsi que le souligne le maire Marc Massion, « souffrait un peu de l’usure du temps, occasionnant des difficultés pour les sportifs à pratiquer leur sport dans de bonnes conditions ». Alors, aux grands maux, les grands remèdes! Dès cette année, la première des deux phases de transformation est engagée. Elle concerne la rénovation (en profondeur) du terrain d’honneur qui recevra un revêtement en gazon naturel avec substrat renforcé ainsi qu’un nouvel éclairage. Les 2 terrains en gazon et en stabilisé laisseront place à un terrain d’entraînement revêtu de gazon synthétique dernière génération alors que le petit terrain d’entraînement actuel se transformera en terrain synthétique de 60 m x 40 m destiné, entre autres choses, au foot à 8. S’il est une personne qui ne se lasse pas d’observer ces transformations qui s’opèrent au quotidien, c’est bien Paul Héllouin, le président du club. « C’est un très beau projet qui, de jour en jour laisse entrevoir ce que sera le site une fois les travaux achevés. La municipalité est à féliciter pour cet investissement et pour la manière dont elle l’a initiée. Nous avons en effet été concertés pour formuler nos désirs et, dans leur majorité, ils ont été suivis ». Mais ce n’est pas terminé ! Alors que les « footeux » devraient prendre possession de leur nouvel outil vers le mois d’octobre 2017, 2018 verra la construction de huit vestiaires, d’une tribune de 300 places et la reprise des voiries d’accès après la réalisation d’un parking. Près de 4 millions d’Euros (hors subventions) sont dédiés à ces aménagements. Alors, à quand le FC Grand-Quevilly en Ligue 1 ?

     
  • GRAND-QUEVILLY. L’adage qui prétend que mariage pluvieux sera heureux semble valoir aussi pour les rencontres.

    Le coup du parapluie.

    Samedi après-midi, le conseiller municipal Jean-Louis Tailleux a ensoleillé la journée des proches de Georges et Josiane Lemonnier, venus dans la maison commune pour y célébrer leurs noces d’or. Il leur a conté le début d’une histoire d’amour qui dure depuis 50 ans. « Le 12 septembre 1966, comme tous les ans, c’était la fête à Grugny. Pas de chance il pleuvait! Josiane n’était pas très enthousiaste pour y aller mais pour ne pas priver sa sœur et son frère dont elle avait la charge, elle se rendit donc vers la place du village… Après un petit tour entre les stands à la recherche de copains et copines, l’heure du traditionnel combat de catch approche. Josiane se dirige vers le ring, abritée sous son parapluie. Et là, arrive par derrière, d’on ne sait où, Georges en compagnie de copains. Il l’avait repérée. Il vint se blottir sous son parapluie en essayant même de le lui subtiliser. Etait-ce un pari ou  voulait-il se rendre malin devant les copains? Josiane n’a pas été intéressée par le combat mais très attirée par Georges, surtout par le bleu de ses yeux…  A la fin de la fête, Georges raccompagne à pieds sa conquête, toujours sous le parapluie alors qu’il ne pleuvait plus ! Entre eux, quelque chose venait de naître. Depuis, ils ne se sont plus quittés. Cela fera 51 ans le 12 septembre prochain. Maintenant ils ne marchent plus sous le même parapluie, c’est l’un derrière l’autre (Georges très loin derrière) qu’ils se rendent à la fête ». De cette union sont nés 4 enfants qui leur ont donné 2 petits-enfants. Ils déroulent une retraite entrecoupée de voyages, de rencontres et d’activités culturelles.

     
  • ROUEN. Lucette et Jean Laurent ont choisi un après-midi du mois d’août pour célébrer leurs noces de diamant.

    Une aventure de soixante ans.

    Le maire, Yvon Robert, est un élu bien occupé et pourtant, il a tenu à assurer, vendredi après-midi, le déroulé de la cérémonie des noces de diamant de deux de ses concitoyens, Jean et Lucette Laurent. Ainsi, dans la torpeur estivale, sous les ors de la grandiose salle des mariages de l’hôtel de ville, le couple a pu se replonger soixante ans en arrière en écoutant Yvon Robert relater ce que fut, jusqu’à aujourd’hui, la belle aventure de leur union. Jean Laurent est né le 13 décembre 1934 à Beauvais et effectue sa scolarité à l’école André Pottier à Rouen. Il  rentre ensuite à la Chambre des Métiers et obtient un C.A.P de boucher. Sa carrière professionnelle débute en 1949.En 1955 il est incorporé sous les drapeaux au 1er Régiment de Génie.  A la suite d’une blessure en service commandé, Jean est réformé et obtient une médaille militaire. De retour à la vie civile, il réintègre sa profession et fait valoir ses droits à la retraite en 1994. Son épouse, Lucette, est née le 26 août 1937 à Petit-Quevilly. En raison des bombardements durant la Seconde Guerre mondiale, sa famille part pour Bernay. Elle y obtient son Certificat d’Etudes Primaires. En 1951, elle apprend le métier de couturière. Le 14 juillet 1956, c’est chez une amie de sa mère que Lucette rencontre pour la première fois  celui qui devient son mari le 10 août 1957 en l’église Saint-Pierre de Déville-lès-Rouen. La naissance de Thierry, le 14 mars 1967, comble de joie ces nouveaux parents. A partir de 1975, elle reprend son métier de couturière et cessera  toute activité professionnelle en 1997. A la retraite, Jean et Lucette s’adonnent respectivement à l’art et à l’antiquité, à la broderie, la lecture et le dessin. A l’issue de cette rétrospective dont l’évocation aura occupé près d’une heure, les « nouveaux » jeunes mariés ont reçu de jolis présents de la part de la municipalité.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Point central de la culture, la bibliothèque François Truffaut est également à la pointe de la technologie.

    Une bibliothèque connectée.

    La première bibliothèque publique de Petit-Quevilly a vu le jour en 1884, avenue Jean-Jaurès. Puis, une bibliothèque-musée de 200 m2, ouvre en 1889, rue Emile-Malétra avec 650 ouvrages en prêt gratuit. En 1978, c’est un bibliobus qui sillonne les rues. Après deux ans de travaux, l’établissement est inauguré en 1994… Depuis plus de 20 ans, la bibliothèque François-Truffaut ravit lecteurs et mélomanes, petits et grands, grâce à la richesse de son fonds, à la variété de ses animations régulières. Elle a dernièrement obtenu le label Bib’Lib « Accès ouvert aux savoirs et à l’information », par l’association des Bibliothécaires de France. C’est la seule en Normandie ! Au-delà du livre, l’établissement met à disposition du public des tablettes pour consulter les ressources en ligne, qui servent également pour certaines « heures du conte ». Des formations Internet et sur tablettes Android sont proposées aux inscrits, gratuitement. Pour lire un livre, sans bouger de chez soi, la bibliothèque numérique permet de le faire sur smartphone, liseuse, tablette et ordinateur. Toutes les ressources en ligne à partir de son site sont consultables pour écouter par exemple, la Philharmonie de Paris. Avec « Tout apprendre », des centaines de cours en ligne sont proposés (code de la route, langue étrangère, soutien scolaire). Les plus jeunes peuvent découvrir Planet Nemo, un espace interactif de plus de 200 jeux ludo-éducatifs, vidéos et découvertes. Grâce au Kiosk, plus de 1000 titres de la presse sont à lire gratuitement sur ordinateur, tablette ou smartphone. Le site « leCanaldesMetiers.tv » est l’espace de découverte, en vidéo, des métiers d’avenir et des métiers qui recrutent. Enfin, des « livres service », où chacun peut venir se servir ou déposer un roman, sont disponibles dans le hall de la Mairie, du CCAS, de l’Ecole de musique, de l’espace Citoyen et près de la Poste. La bibliothèque François-Truffaut est ouverte tout l’été. Mardi, jeudi et vendredi : de 14 h à 18 h ; Mercredi : de 10 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 18 h ; Samedi : de 10 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h.

     
  • GRAND-QUEVILLY. Le centre de loisirs continu de célébrer ses cinquante ans.

    Après avoir récemment défilé dans les rues de la ville, des centaines d’enfants du centre de loisirs Léo Lagrange se sont dernièrement réunis dans le gymnase  Philippe Maimberte afin de présenter à des parents, des proches ou des visiteurs, plusieurs scènes de théâtre reprenant les grands thèmes abordés au cours des cinquante ans de l’existence du site. Haut en couleurs et en musique, ce spectacle fait partie des festivités organisées à l’occasion de l’anniversaire du centre de loisirs.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Une boite à lire a été installée à proximité du square Marcel Paul.

    Depuis fin juin, une cabine téléphonique recyclée trône près de la Poste, rue Eugène-Davey. Pas question pour autant de s’en servir pour passer un coup de fil ! En effet, elle a été installée pour servir de de boîte à lire. Des  dizaines  d’ouvrages y sont à disposition  de  tous,  répartis sur  des étagères. On prend un livre, on le lit, on peut ensuite le remettre à sa place ou le garder et en déposer un autre. Bref, ce système permet de mettre la lecture à portée de tous, gratuitement, de faire circuler la culture et ainsi créer du lien social.  En outre, elle offre une seconde vie aux livres et donne peut-être aux utilisateurs l’envie de se rendre à la bibliothèque. Une bonne idée à proximité du jardin du Cloître et du square Marcel-Paul !

     
  • SOTTEVILLE SOUS LE VAL. Les enfants découvrent la pêche en étang avec le club FSGT.

    Nature, pêche et partage.

    Dédé, François, David, Jacky et les autres ont, comme chaque année, déplié les gaules. Durant tous les mercredis de juillet, ils ont accompagné des enfants des écoles de Sotteville-sous-le-Val, du centre de loisirs de Sotteville-lès-Rouen et des adultes de l’établissement « le Pré de la Bataille « à la découverte de l’univers de la pêche en étang. « Nous faisons cela depuis de nombreuses années grâce à une partie des bénéfices tirés de l’organisation de notre grande foire à tout annuelle. Cela nous permet de faire profiter, gratuitement, ces centres de loisirs ou d’instituts spécialisés, de notre passion pour la pêche », raconte Jean-Luc Brouté, le président de l’association. « Cette année, ce sont 128 gamins que nous avons accueillis lors de 4 journées ». Divers ateliers, traitant de la sécurité, de la protection environnementale, du matériel utilisé et des différentes espèces de poissons présents dans le plan d’eau, ont été assurés par une douzaine de bénévoles. Salem, Jimmy et Sylvie de l’ESAT Pré de la Bataille, garderont un souvenir mémorable de cette journée : « Nous avons pêché trois perches… C’est une belle récompense! ». L’actualité du club c’est aussi l’enduro de pêche les 2 et 3 septembre prochains. Renseignements et réservations au 06.61.14.31.11.

     
  • GRAND-QUEVILLY. Spécialisée dans la distribution de médicaments, la société PlanetPharma finalise la construction d’un nouvel entrepôt.

    Une entreprise qui prend de la hauteur.

    Depuis plusieurs semaines, les automobilistes empruntant régulièrement la Route des Docks située entre les communes de Grand-Quevilly et Petit-Couronne, s’étonnaient de l’érection progressive, d’une construction ne ressemblant à aucune autre. Tel un jeu de Meccano, l’assemblage de tubes et de traverses métalliques s’élevait quotidiennement au rythme du ballet de grues géantes et des acrobaties des ouvriers évoluant de plus en plus haut… A tous ceux qui se posaient la question, et les autres, voici l’explication d’un tel chantier : En raison de l’accroissement de son activité, la société Planetpharma, spécialisée dans la distribution de produits pharmaceutiques pour une centaine de clients dans le monde, et qui est installée sur la zone industrielle du Grand Launay depuis 1991, a entrepris la construction d’un entrepôt de stockage supplémentaire. La structure d’une hauteur de 32 mètres devrait permettre de stocker plus de 10 000 palettes permettant ainsi à Planetpharma de multiplier sa capacité de stockage par 2. Quand ce projet a été lancé, en 2014, il avait fait l’objet d’une présentation aux élus de Grand-Quevilly. Le principal souci de cette évolution était d’ordre environnemental et, à l’époque, le maire Marc Massion, avait souhaité que « l’architecte et les services municipaux travaillent ensemble pour l’intégration de ce nouveau bâtiment dans le paysage Quevillais ». L’ouvrage est donc réalisé en polycarbonate blanc-bleu, se fondant dans le ciel. Côté technique, l’entrepôt moderne sera doté d’outils sophistiqués et mécanisés tel que le transstockeur. Ce dispositif de logistique automatisé, permettra  de déplacer aisément les palettes situées à une hauteur très élevée. Les palettes seront ensuite acheminées directement et automatiquement vers la zone de logistique actuelle. Le coût du projet d’agrandissement avait été évalué entre 9 millions et 10 millions d’euros avec à la clé la création d’une trentaine de nouveaux emplois.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Durant trois jours, les meilleurs espoirs du football français se retrouvent au stade Lozai.

    Graines de stars.

    Chaque été depuis vingt ans, le stade Lozai se transforme en temple du ballon rond en accueillant, sur trois jours, le gratin des espoirs du football français, douze équipes de clubs les plus connus qui font de ce tournoi un passage obligé dans la préparation de la saison qui débute. Réservé aux joueurs de moins de 17 ans (U17), ce rendez-vous a vu défiler des noms qui, aujourd’hui, font l’actualité des pages sportives. Varane, Coman, Rabiot, Benzia, Augustin ou encore un certain Mbappé ont, en effet, foulé un jour les pelouses de Lozai. Baptisée « Tournoi Mahmoud Tiarci » en 2015 en souvenir de l’ancienne figure emblématique de l’US Quevilly, décédé le 5 août 2014, et père de Thomas Tiarci, responsable de la formation au sein de l’association Quevilly Rouen Métropole, cette manifestation, qui se place comme le plus gros tournoi français de la catégorie, avec celui de Montaigu en Vendée, est l’occasion d’assister à l’éclosion de futures vedettes. « Ce n’est pas pour rien que les plus grands clubs de l’hexagone reviennent chaque année » relève Clément Lefebvre, responsable du tournoi, « une fidélité telle qu’il est difficile voire impossible d’obtenir un droit d’entrée. Ce rendez-vous est extrêmement populaire, il réunit les meilleurs joueurs des centres de formation. C’est une belle occasion de montrer les espoirs montants du football à notre public. Tous ces jeunes ont moins de 17 ans et rêvent d’intégrer un club professionnel. Pour eux, c’est le moyen de se jauger. Quant aux entraîneurs, ils testent leurs groupes et procèdent aux derniers ajustements avant la reprise des championnats nationaux ». Le plateau 2017 sera constitué des clubs suivants : Monaco, Rennes, Metz (le tenant du titre), Caen, Guingamp, Strasbourg, Auxerre, Le Havre, Nancy, Académie Mohammed VI de Rabat (Maroc), le FC Rouen et l’US Quevilly Rouen Métropole Association. Un vivier de près de 250 gamins (chaque équipe présente 20 joueurs). Du jeudi 17 au samedi 19 août 2017 – Tournoi National U17 Mahmoud-Tiarci – Stade Lozai – Entrée libre.

     
  • QUEVILLY ESPACE IMAGES 2017-07-28 11:57:00

    LE PETIT-QUEVILLY. Activités des seniors.


    Les Quevillais, âgés d’au moins 55 ans, peuvent se rendre à partir du 14 août au secrétariat de direction de l’action sociale, espace Saint-Julien, rue Spinneweber pour s’inscrire à la gymnastique volontaire qui reprend le 4 septembre, à la salle Marcel-Paul. Les séances se déroulent le lundi de 9 h 15 à 10 h 15 et de 10 h 30 à 11 h 30 et/ ou le jeudi de 9 h 15 à 10 h 15. Un certificat médical (daté de moins d’un mois au moment de l’inscription) est à retirer auprès du secrétariat de direction de l’action sociale et à faire compléter par le médecin traitant. La natation recommence le 14 septembre. Elle a lieu le jeudi, à la piscine municipale, de 16h à 17 h. Un certificat médical est également nécessaire. Il faut également s’inscrire pour bénéficier du colis offert par le CCAS. Il est réservé aux personnes âgées domiciliées sur la commune, et n’ayant pu participer, ni au repas des Cheveux d’argent, ni au voyage de mai et juin. Les Quevillais doivent se présenter, munis de la carte du CCAS, au restaurant de rattachement, de 9 h 30 à 11 h 30 :  Lundi 11 septembre, au restaurant de personnes âgées Marcel-Paul, Mardi 12 septembre, au restaurant de personnes âgées Pasteur, Mercredi 13 septembre, au restaurant de personnes âgées Flaubert. Pour tout renseignement, contacter le secrétariat de direction de l’action sociale au 02.32.81.50.81.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Le dispositif des stages d’initiation sportive connaît un succès toujours très important.

    En route pour l’aventure.

    Depuis de nombreuses années la municipalité a mis en place des stages d’initiation sportive, occasion pour les enfants de découvrir des activités qu’ils n’ont pas toujours l’habitude d’exercer. Ces stages sont organisés au cours des petites et grandes vacances scolaires pour un public âgé de 5 à 17 ans, sont encadrés par des éducateurs sportifs spécialisés et ouverts à toutes et tous. La programmation proposée par session varie selon les années et, pour ces vacances 2017, la jeunesse quevillaise a le choix entre sports équestres, tir à l’arc, jeux d’orientation ou encore piscine et multisports collectifs. Ce dispositif rencontre toujours une grande adhésion et, cette année encore, le succès est au rendez-vous. Ce mardi, dans l’enceinte du complexe Gambade, 19 adolescents répartis en 2 groupes s’essayent au tir à l’arc et à la course d’orientation. Hervé, éducateur sportif, est satisfait de ses jeunes recrues. « Je suis épaté » souligne-t-il, « ces gamins sont très concernés et s’investissent pleinement dans l’apprentissage. Nous avons commencé par l’orientation dans un espace réduit, la salle de sport, en lisant un plan, déterminer les points cardinaux et utiliser une boussole. Ils ont tout compris et sont fin prêts pour être lâchés dans la nature … ». Et la nature, les enfants la retrouveront quelques jours plus tard au cours d’un grand jeu d’orientation dans le parc des Chartreux durant lequel ils combineront leur faculté à se repérer avec l’adresse qu’ils auront acquise dans le tir à l’arc. Ainsi, sans quitter la ville, ces Petit-Quevillais auront vécu des aventures qu’ils ne pourraient retrouver que dans les livres…

     
  • GRAND-QUEVILLY. Des centaines d’enfants costumés ont défilé dans les rues pour célébrer les 50 ans du centre de loisirs.

    La jeunesse dans la rue !

    Le centre de loisirs Léo Lagrange fête ses 50 ans cette année ! Déjà, le 1er juillet dernier, des milliers de personnes s’étaient déplacées sur le site en bordure de la forêt du Chêne à Leu pour retrouver les souvenirs d’une partie de leur jeunesse, lors d’une après-midi festive et conviviale. Vendredi, en matinée, c’est à un gigantesque défilé composé de plusieurs centaines d’enfants auquel ont été conviés les riverains d’un parcours qui a démarré du parking de la piscine pour se disperser place Delacroix. Parés de costumes aux couleurs des thèmes les plus régulièrement abordés au cours des spectacles des précédentes décennies, la ribambelle d’enfants a été largement applaudie par les habitants juchés sur les balcons de leur immeuble ou descendus sur les trottoirs pour les encourager et les photographier. 

     
  • SAHURS. Pionnière sur la Métropole, la municipalité initie un dispositif de mutuelle complémentaire communale.

    L’union fait la force.

    Le maire Thierry Jouenne et son équipe municipale a récemment dévoilé le fruit d’une réflexion menée sur l’accompagnement santé de leurs concitoyens. Partant d’un constat que « suite à la baisse constante des niveaux de remboursement du régime général de Sécurité sociale, il devient de plus en plus difficile de se passer d’une bonne complémentaire santé, nous avons lancé une consultation de diverses compagnies d’assurance dont AXA qui nous présente aujourd’hui son offre de mutuelle communale ». Pour proposer des tarifs attractifs, ce dispositif joue très classiquement sur l’effet de groupe. Résultat, l’offre dévoilée ce soir-là assure 30% de réduction, à vie, aux adhérents qui tenteront l’aventure ainsi que des contrats adaptables et personnalisés à chacun des cas. Le seul critère retenu est celui de la domiciliation des adhérents, lesquels doivent résider sur le territoire de la commune, sans questionnaire médical, limite d’âge ou conditions de ressources. Ayant bien cerné le public auquel elle s’adressait, une majorité de retraités, la compagnie retenue renforce son offre avec un service de proximité. Un conseiller sera effectivement « en prise directe » avec ses adhérents, par téléphone ou voie informatique voire en se déplaçant, afin de les épauler dans leurs démarches et/ou répondre à leurs interrogations. Thierry Jouenne a indiqué qu’un point serait fait en cours d’année afin de savoir si le dispositif convient et s’il y a suffisamment d’adhérents pour le pérenniser. Les habitants intéressés peuvent prendre contact avec la mairie qui les orientera. 

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Le club de la métropole passe la vitesse supérieure et se dote d’une application internet dédiée et de nouveaux maillots.

    Quevilly Rouen Métropole 2.0.

    Au bout de deux saisons d’existence, le projet Quevilly-Rouen Métropole est parvenu à atteindre l’antichambre de l’élite nationale en matière de football. Mais l’évolution de l’équipe fanion en ligue 2 dès le mois prochain n’est pas qu’un simple passage de niveau. Le président Michel Mallet le répète à l’envie : « Nous ne sommes pas dans la cour des très grands, mais dans la cour des grands, dans le Top 40 des meilleures équipes de football français, notre objectif visant le Top 35 ou 36 ! ». Alors, aux grands desseins, les grands remèdes. Un stade Robert Diochon rénové, de nouveaux maillots (voir ci-dessous) et, réalité numérique oblige, une inter connectivité entre le club, les partenaires et le public via une application informatique dédiée. Vincent Dumont, de l’agence de communication parisienne Chaikana est venu présenter ce nouvel outil à destination des fans, mise au point par sa société. « Si l’on veut être vus, il faut se faire voir! » a-t-il déclamé, « quoi de mieux, à l’heure des réseaux sociaux, de l’information instantanée, qu’une application internet permettant à tous les amoureux de QRM de se tenir au courant de la vie de leur club ? ». Alors, outre les traditionnels onglets de présentation, les formulaires de contact ou les photos et vidéos de la vie de l’équipe, ce véritable outil interactif se veut être la vitrine d’une marque jeune et provoquer un engouement pour cette nouvelle aventure humaine. « Nous sommes dorénavant un club pro, dès lors il nous faut une communication de pro, relayer à l’infini tout ce qui touche au club ». Abonnements, jeux de pronostics, élection de l’homme du match, interviews exclusives, retransmissions de matchs, communication avec les spectateurs durant les rencontres… Cette application a pour but de relier, ensemble tous les supporteurs désirant participer à ce nouveau défi. A titre d’exemple, QRM s’enorgueillit de 2000  followers sur Twitter et plus de 15.000 likers sur Facebook. Application disponible sur Google Play Store et IOS store.

     

    Nouvelle saison, nouveau maillot.

    Le président de Quevilly Rouen Métropole, Michel Mallet a présenté aux principaux partenaires et aux médias le nouveau maillot pour la saison 2017-2018 en Domino’s Ligue 2, en présence des joueurs, du staff technique et des dirigeants du club. « Il porte de nouvelles valeurs, a-t-il commenté. Si les joueurs ne l’ont pas encore officiellement porté, Pierre Vignaud, Romain Basque, Stanislas Oliveira, Joan Hartock et Dan Delaunay l’ont cependant fièrement arboré, chacun revêtant une tenue différente afin de montrer les cinq jeux différents : le rouge (domicile), le jaune (extérieur) et le blanc (3e jeu), ainsi que le bleu et le gris pour les deux gardiens. « Cette saison, nous arborons les léopards, symboles de la Normandie car on est fier de notre région. Nous avons également mieux mis en valeur notre fanion, afin de porter haut et loin les couleurs de QRM ».

     
  • GRAND-QUEVILLY. Les travaux d’aménagement engagés sur le site de la Piste Rouge ne font pas que des heureux.

    Durant les travaux, les places sont chères.

    Les 2 800 m² de la dalle située entre le boulevard Maurice-Ravel et la rue Arthur-Rimbaud, surnommée Piste Rouge, était devenue un lieu où les riverains et leurs enfants venaient se détendre et se rencontrer. Au-delà de cette utilité, cette place a la particularité d’être le toit d’un parking souterrain. « Construit en 1977, cet ouvrage présentait des signes de vétusté et nous n’aurions pas tardé à être confrontés à des problèmes d’infiltration au niveau des garages qui se trouvent au-dessous » déclarait dans nos colonnes en novembre 2016, Roland Marut, président de Quevilly Habitat, gestionnaire de l’équipement. Après une vaste réflexion menée en collaboration avec les habitants, la mairie et Quevilly Habitat ont enclenché une rénovation prévoyant aménagements paysagers, cheminements nouveaux, aires de jeux et terrains de sports pour un coût de 800.000 Euros. Mais depuis le début des travaux, un problème de stationnement des véhicules s’est fait jour et certains riverains sont exaspérés. « En journée, il ne semble pas y avoir de soucis » regrette Natty en montrant un quartier paisible et des places de parking libres en grand nombre, « le soir venu ou les week-end et jours fériés, ce n’est plus la même chanson… Tout le monde rentre et c’est la course pour se garer. Entre les foyers qui possèdent plusieurs véhicules ou les gens qui utilisent leur voiture d’entreprise, c’est rapidement plein. Alors on se met sur le moindre endroit qui ressemble à une place, souvent à cheval sur la chaussée, sur les pelouses… Cela devient pénible d’autant qu’on a l’impression que les travaux n’en finissent pas! ». Même son de cloche chez Fernand, un retraité qui, lui, a trouvé une solution : « Je ne prends plus la voiture! J’ai une place et je la garde… Le chantier a amputé un parking tout entier, une cinquantaine de places peut-être, alors, évidemment, c’est un peu le jeu des chaises musicales… ». Et Natty de reprendre, « Pour couronner le tout, on a eu droit au passage de la police municipale qui a fait un carton de PV sur les voitures mal garées… ». Patience, le chantier est bien avancé et devrait être rendu rapidement aux riverains.

     
  • GRAND-QUEVILLY. Daniel Letellier, fan de Jacques Anquetil depuis toujours, arrête la compétition et expose au centre commercial Sud 3.

    Champi raccroche son vélo mais pas ses combats.

    « J’en ai marre… ». Daniel Letellier, alias « Champi » l’a décidé, il ne courra plus en compétition cycliste. « Place aux jeunes… De toute façon, ceux que j’affronte aujourd’hui dans ma catégorie ont 65 ans et je ne peux plus suivre! ». En même temps… à 77 ans, le Grand-Quevillais a bien mérité d’aspirer à un peu de repos. Mais ceux qui le connaissent savent qu’il ne va pas s’installer sur son canapé. Ce mordu de vélo qui s’est entrainé avec Jacques Anquetil n’a en effet de cesse de se battre pour faire perdurer la mémoire du quintuple vainqueur du Tour de France, double vainqueur du Giro d’Italia et qui a remporté également la Vuelta et tant d’autres victoires de classiques prestigieuses… Dernière initiative, une exposition d’objets (vélos, maillots, bidons, affiches et autres ouvrages) ayant appartenu à « Maître Jacques » dans l’enceinte de la boutique Arthur Abrillian au centre commercial Sud 3 (Bois-Cany), jusqu’à la fin du Tour de France. « Nous nous sommes rencontrés par hasard, à côté de la boutique » se souvient Arthur Abrillian, « nous avons sympathisé, parlé vélo… Daniel est passionnant, ses histoires et ses souvenirs fascinants. L’idée d’une exposition dans le magasin a germé et voilà… C’est un succès car bon nombre de visiteurs s’arrêtent au droit de la devanture ». Mais pour « Champi », l’histoire ne va pas s’arrêter là. Celui qui a, de haute lutte, obtenu qu’un quai de Rouen porte le nom du célèbre cycliste, persiste dans son espoir de voir, un jour, le palais des sports, actuel Kindarena, arborer le nom de Jacques Anquetil. « J’en ai écrit des courriers… à toutes les institutions. Je vais continuer! Cette année, cela fait 30 ans que Jacques est parti et rien ne semble prévu pour célébrer cette date… Je vais tenter de faire bouger les choses. C’est mon leitmotiv, mon combat et je ne compte pas m’arrêter dans cette quête de devoir de mémoire… ». Et pour ceux qui connaissent Daniel Letellier, nul doute que le bonhomme lâche, un jour, le morceau! Exposition Jacques Anquetil – Boutique Arthur Abrillian – Centre Commercial Sud 3 – Jusqu’au samedi 22 Juillet.

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. Les enseignants ont été honorés en mairie pour la fin de l’année scolaire.

    Et si on revenait à la semaine de 4 jours ?

    A l’occasion de la traditionnelle réception des enseignants de la commune initiée par la municipalité pour marquer la fin de l’année scolaire, c’est Charlotte Goujon, l’adjointe au maire en charge de l’éducation qui a accueilli les maîtresses, maîtres d’écoles, professeurs de collèges et directeurs d’établissements. Elle a profité de cet échange convivial pour répondre à une interrogation qui s’est fait jour à la suite de la récente publication des décrets d’application autorisant des dérogations à la semaine des 4,5 jours de temps scolaire qui est actuellement la règle. « Après réflexion, l’équipe municipale a décidé de poursuivre, pour l’instant, sur le dispositif qui a été instauré, à savoir, la semaine de 4,5 jours d’école. Une concertation va être engagée avec les professionnels de l’éducation, les parents d’élèves et les élus en vue de décider s’il est opportun et souhaitable de revenir à la semaine de 4 jours. Une décision collective, dans l’intérêt des enfants sera prise dans le courant de l’année scolaire qui vient ». Ceci acté, le maire, Frédéric Sanchez a, au nom de la municipalité, honoré diverses personnes ayant fait valoir leurs droit à la retraite ou faisant l’objet d’une mutation hors commune. Ainsi, Annie Leblond a-t-elle fait ses adieux à l’école Gérard Philippe, Anne Dusson au collège Fernand Léger alors que Laurence Grenier, laisse la place de proviseur du lycée Jean-Baptiste Colbert pour voguer vers les plages de Saint-Valéry en Caux.

     
  • GRAND-QUEVILLY. Depuis deux ans, les élus du Conseil des Jeunes se forment à l’acquisition des gestes de premiers secours.

    Les gestes qui sauvent.

    Depuis 1995, date à laquelle il a été instauré, le Conseil des Jeunes, qui regroupe des élèves de CM1/CM2 mène des actions dans des domaines variés, selon les commissions et les envies des enfants élus. Il y a 2 ans, dans le cadre d’un projet mené par la commission Solidarité, les écoliers se  sont rapprochés du brigadier-chef Sébastien de la Police municipale ainsi que du Caporal-chef Grégory des sapeurs-pompiers de Rouen Sud et du Sergent-chef Jean-Christophe du centre de secours de Grand-Quevilly. Depuis cette date, ils bénéficient d’une formation régulière afin de s’initier aux gestes de premiers secours. En parallèle, et avec le concours de du service communications de la municipalité, ils ont rédigé et confectionné un fascicule sous forme de dépliant facile à mettre dans une trousse d’écolier dans lequel figurent les principales attitudes à tenir en présence d’un accident nécessitant des secours immédiats. Les numéros d’urgence à contacter, la mise en position latérale de sécurité (PLS) jusqu’aux principes du massage cardiaque et du bouche à bouche,  ce livret se veut un pense-bête pour intervenir en cas d’urgence. Dernièrement, les jeunes du conseil ont restitué leur apprentissage à leurs camarades de 7 écoles tout en leur remettant ce fascicule qui pourra les accompagner au quotidien. « Ils apprennent et mémorisent vite » souligne le Caporal-Chef Grégory, « de plus l’innocence de leur âge leur fait soulever des questions auxquelles nous-mêmes n’aurions pas pensé. Cette formation a trouvé un très bon écho par ce public jeune et réceptif à ce genre d’informations ». 

     
  • LE PETIT-QUEVILLY. La musique descend dans la rue.

    La musique dans la rue.

    Dans son objectif d’animer la ville au quotidien, la municipalité, en collaboration avec l’Ecole municipale de musique, de danse et de théâtre, a eu l’idée de faire descendre la musique dans la rue. Un premier concert a eu lieu en fin de semaine à la sortie de l’école primaire Wallon dans le quartier Saint-Julien. Durant une petite heure, les parents venus chercher leurs bambins ont pu se poser, sous les arbres de la place de la chapelle et se laisser porter par les notes diffusées par des professeurs de l’EMMDT. Une nouvelle représentation est prévue, cette fois-ci sur le site du Jardin du Cloitre, le vendredi 7 juillet à 17 h 00. Une occasion de savourer en famille quelques airs de musique tout en profitant du soleil ! Gratuit.

     
  • ROUEN. Près de 200 caravanes de Gens du Voyage installées sur l’ancien hippodrome des Bruyères.

    Le ras le bol des riverains.


    Depuis  une semaine, près de 200 caravanes abritant des personnes de la communauté des gens du voyage se sont installées sur l’ancien hippodrome des Bruyères à Sotteville-lès-Rouen. « Ils sont arrivés comme un essaim d’abeilles » commente, en colère, Gilbert, un riverain du site, avant de poursuivre « comme tous les ans, nous allons être confrontés aux nuisances que leur présence occasionne… ». Car pour cet habitant, accompagné par plusieurs de ses voisins, « la coupe est pleine! En dix ans, j’ai été victime de onze cambriolages, toujours à cette période… sans compter le casse de ma voiture. A chaque fois, ce sont des tonnes de démarches à faire pour aucun résultat! Les pouvoirs publics sont informés, que ce soit la Métropole, les différentes polices municipales ou nationale, rien n’est fait ». Les compagnons de Gilbert ne disent pas autre chose mais ne veulent pas être identifiés, « de peur des représailles » avancent-ils car « nous sommes des seniors et nous ne pouvons prétendre faire face à cela comme si nous avions 20 ans! Nous n’avons rien contre ces gens-là mais vous comprendrez que nous ne sommes pas rassurés car il n’y a pas de fumée sans feu! ». Pour sa part, la Métropole, propriétaire du site, a pris des dispositions en matière d’installations sanitaires et d’énergie. En outre, elle a entamé des démarches judiciaires liées à l’occupation ainsi que des discussions sur une date de départ. Celle-ci devrait intervenir aux alentours du 9 juillet. A l’heure actuelle, la Métropole Rouen Normandie ne dispose pas d’aire d’accueil pour ce genre de grands rassemblements comme le spécifie pourtant la loi. 

     
  • GRAND-QUEVILLY. Le bailleur Quevilly Habitat participe à la semaine nationale des HLM.

    La transition énergétique, naturellement.

    Chaque année, afin de promouvoir le rôle du logement social, de nombreux évènements sont organisés partout en France par les organismes HLM. Pour cette 5e édition en faveur de l’environnement, le bailleur Quevilly Habitat avait décidé de sensibiliser le grand public aux éco-gestes du quotidien. A cet effet, une exposition ludique et interactive avait été installée au sein de la nouvelle résidence Samuel de Champlain. A cette occasion, des enfants des écoles et du centre de loisirs ainsi que bon nombre d’habitants ont eu la possibilité de visiter un logement de la résidence Samuel de Champlain mise en service depuis le 1er juin dernier. Cette visite leur a permis de découvrir concrètement les différents outils mis à disposition des locataires afin de réaliser des économies d’énergie au quotidien et préserver ainsi l’environnement.