Robin est un petit garçon de 2 ans et demi comme les autres. Ou presque. À sa naissance à la maternité d’Aurillac, on explique à ses parents que leur enfant est porteur de la trisomie 21.
Passés les premiers mois douloureux de l’annonce du diagnostic, Jean-Baptiste et Cécile Doré, découvrent l’existence de prises en charge alternatives et décident dès le quatrième mois de vie de Robin de les mettre en place.
En effet, pour être efficaces, ces différentes techniques de stimulation doivent être appliquées de manière précoce et surtout quotidienne.
Thérapie chère
Mais la thérapie coûte cher. Pour aider la famille, une association a été créée Un P’tit Rien pour Robin en avril dernier. Et les grands-parents qui habitent Berneval-le-Grand vont organiser un loto dimanche 29 janvier à 14 h à la salle polyvalente.
L’intégralité des bénéfices sera reversée à l’association.
Retrouvez l’intégralité de cet article dans notre édition papier ou numérique du 6 janvier.