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2017 placée sous le signe de la paix, de la solidarité et du sourire

Hubert Wulfranc, maire et conseiller départemental, et les élus du conseil municipal vous présentent leurs meilleurs vœux pour l’année 2017 C’est une photographie de l’installation artistique réalisée à partir d’origamis de grues confectionnés par des habitants et assemblés par la plasticienne Astrid Méry qui s’affiche cette année sur la carte de vœux municipale.
En septembre et octobre 2016, partout à Saint-Étienne-du-Rouvray, de nombreuses mains ont plié du papier. Dans les Animalins, au collège, au pied des immeubles, dans les bureaux ou à la maison, des carrés de couleur ont pris la forme d’oiseaux – de grues – sous les doigts experts ou maladroits de petits et de grands.
L’opération « Mille grues pour la paix », proposée par la municipalité aux lendemains de l’attentat du 26 juillet 2016 ayant coûté la vie au père Jacques Hamel, a trouvé un bel écho auprès de la population. Mille cinq cents origamis ont été collectés. Plusieurs centaines d’entre eux ont été confiés à la plasticienne Astrid Méry, dont l’installation prend la forme du paysage impressionniste de cette carte.
À l’origine de la légende des Mille grues se trouve l’histoire d’une enfant japonaise, Sadako Sasaki, victime en 1945 des radiations de la bombe atomique larguée sur la ville d’Hiroshima. Malade, elle se lance dans la confection d’origamis de grues avec l’espoir que ces oiseaux de papier deviennent synonymes de guérison pour elle. Son vœu ne sera pas exaucé, mais son histoire va devenir au fil du temps un symbole de paix universel.
Soixante-dix ans plus tard, des Stéphanais ont repris à leur compte le rêve de la petite Sadako. En réalisant ces pliages, ils ont eux aussi formulé le vœu d’un monde en paix.

Hubert Wulfranc, maire et conseiller départemental, et les élus du conseil municipal vous présentent leurs meilleurs vœux pour l’année 2017 C'est une photographie de l'installation artistique réalisée à partir d'origamis de grues confectionnés par des habitants et assemblés par la plasticienne Astrid Méry qui s'affiche cette année sur la carte de vœux municipale.
En septembre et octobre 2016, partout à Saint-Étienne-du-Rouvray, de nombreuses mains ont plié du papier. Dans les Animalins, au collège, au pied des immeubles, dans les bureaux ou à la maison, des carrés de couleur ont pris la forme d’oiseaux – de grues – sous les doigts experts ou maladroits de petits et de grands.
L’opération « Mille grues pour la paix », proposée par la municipalité aux lendemains de l’attentat du 26 juillet 2016 ayant coûté la vie au père Jacques Hamel, a trouvé un bel écho auprès de la population. Mille cinq cents origamis ont été collectés. Plusieurs centaines d’entre eux ont été confiés à la plasticienne Astrid Méry, dont l’installation prend la forme du paysage impressionniste de cette carte.
À l’origine de la légende des Mille grues se trouve l’histoire d’une enfant japonaise, Sadako Sasaki, victime en 1945 des radiations de la bombe atomique larguée sur la ville d’Hiroshima. Malade, elle se lance dans la confection d’origamis de grues avec l’espoir que ces oiseaux de papier deviennent synonymes de guérison pour elle. Son vœu ne sera pas exaucé, mais son histoire va devenir au fil du temps un symbole de paix universel.
Soixante-dix ans plus tard, des Stéphanais ont repris à leur compte le rêve de la petite Sadako. En réalisant ces pliages, ils ont eux aussi formulé le vœu d’un monde en paix.