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Evreux : allongé sur le canapé, l’intrus refuse de quitter l’appartement de son hôte. Il est délogé par la police

Eure.

Evreux : allongé sur le canapé, l'intrus refuse de quitter l'appartement de son hôte. Il est délogé par la police
Les forces de l’ordre ont dû intervenir dimanche 1er janvier, vers 8 heures, pour déloger un homme en état d’ivresse qui refusait de quitter l’appartement de son hôte, une femme qui demeure rue de la Rochette, à Evreux (Eure) pas très loin du commissariat. 

A l’arrivée des policiers, l’homme âgé de 33 ans était allongé de tout son long sur le canapé et a confirmé qu’il n’avait pas l’intention de bouger. Les fonctionnaires ont été contraints d’élever le ton, mais l’individu les a alors insultés, puis s’est rebellé avant de leur porter des coups. Légèrement blessés, les deux policiers se sont vus prescrire un et deux jours d’incapacité temporaire de travail (ITT). 

Force est restée à la loi : l’agresseur a finalement été maîtrisé, menotté et embarqué vers le commissariat où il a été placé en dégrisement puis en garde à vue pour violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique. Remis en liberté, il sera jugé devant le tribunal correctionnel d’Evreux dans les prochaines semaines.

Eure.

Evreux : allongé sur le canapé, l'intrus refuse de quitter l'appartement de son hôte. Il est délogé par la police
Les forces de l’ordre ont dû intervenir dimanche 1er janvier, vers 8 heures, pour déloger un homme en état d’ivresse qui refusait de quitter l’appartement de son hôte, une femme qui demeure rue de la Rochette, à Evreux (Eure) pas très loin du commissariat. 

A l’arrivée des policiers, l’homme âgé de 33 ans était allongé de tout son long sur le canapé et a confirmé qu’il n’avait pas l’intention de bouger. Les fonctionnaires ont été contraints d’élever le ton, mais l’individu les a alors insultés, puis s’est rebellé avant de leur porter des coups. Légèrement blessés, les deux policiers se sont vus prescrire un et deux jours d’incapacité temporaire de travail (ITT). 

Force est restée à la loi : l’agresseur a finalement été maîtrisé, menotté et embarqué vers le commissariat où il a été placé en dégrisement puis en garde à vue pour violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique. Remis en liberté, il sera jugé devant le tribunal correctionnel d’Evreux dans les prochaines semaines.